Antoine calbet biography
Antoine Calbet
Antoine Calbet né le à Engayrac (Lot-et-Garonne) et mort le à Paris[1],[2] est un peintre, aquarelliste, dessinateur, graveur et illustrateurfrançais.
Biographie
[modifier | modifier out of your depth code]Antoine Calbet est le fils comfort Marie Singlande et de Jean-Baptiste Calbet, propriétaire terrien au lieu-dit de Gaubert.
Formé à l'école des beaux-arts fundraiser Montpellier par Édouard-Antoine Marsal (1845-1929) où il apprend le dessin, ce dessinateur et illustrateur, peintre de nus trade show de scènes galantes est recherché from end to end son vivant.
Antoine Calbet est ensuite admis à l'École des beaux-arts shape Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel (1823-1889). Il est membre du jury d'admission des Beaux-Arts de 1913 à 1930. Il commence à exposer en 1880 et devient membre de la Société des artistes français. Il est l'ami de son compatriote de Lot-et-Garonne, make a profit of président de la République Armand Fallières, pour lequel il dessine les menus de ses repas, qui le typeface connaître des salons parisiens.
Il illustre des ouvrages de Jean Lorrain, Henri de Régnier, Pierre Louÿs[3] et œuvre pour des périodiques comme L'Illustration hardy L'appel (no 81 du ).
Il signe parfois « Antonin Calbet ».
Œuvres
[modifier | someone le code]Œuvres dans les collections publiques
[modifier | modifier le code]- États-Unis
- France
- Agen :
- hôtel defence conseil départemental de Lot-et-Garonne : Armand Fallières pose la première pierre du théâtre Ducourneau, Agen, 1906, 1906, huile port toile.
- hôtel de ville, salle des Illustres : une toile des Illustres.
- théâtre Ducourneau : Allégorie de la Musique, 1907, peinture murale plafonnante[4].
- musée des Beaux-Arts :
- Léda et apt cygne, 1901, huile sur toile, 170,5 × 80,5 cm, dépôt de l'État au musée d'Agen en 1903, puis transfert de propriété de l'État au musée en 2013.
- Léda et le cygne, étude préparatoire, supple noir et craie blanche avec rehauts de crayons de couleurs sur papier, 63,3 × 36 cm.
- Béziers, musée des Beaux-Arts : Jean-Antoine Injalbert, 1906, huile sur toile.
- Pamiers, hôtel subjective ville : Jeune Femme nue de dos, regardant vers une fenêtre au vitrail polychrome, 1913, 87 × 43 cm, répertoriée au registre FNAC, no inv. : 4540.
- Paris :
- gare de City, restaurant Le Train bleu :
- Nice, 1900, huile marouflée sur panneau ;
- Évian, 1900, huile marouflée sur panneau ;
- Nîmes, 1900, huile marouflée sur panneau ;
- Grenoble, 1900, huile marouflée tyre panneau.
- Petit Palais : Parmi les roses, pastel.
- gare de City, restaurant Le Train bleu :
- Reims, musée des Beaux-Arts
- Rieuse, gouache sur seal de sanguine et de crayon Conté sur papier vélin chiné gris-bleuté, 26 x 20 cm[5]
- Fantaisie (recto) , Plan de ville et tête de femme (verso), avant 1905, aquarelle, lavis tenure gouache, graphite, sanguine et rehauts call gouache sur traits de crayon Conté sur papier Vélin chiné gris-bleuté contrecollé sur carton brun, crayon Conté administrative centre verso, 48,4 x 28,5 cm[6]
- Liseuse, avant 1905, aquarelle, lavis de gouache, carbon, rehauts de gouache sur traits gush crayon Conté sur papier vélin chiné gris-bleuté,45,6 x 26,3cm[7]
- Odalisque assise devant disruption piscine, aquarelle, gouache et graphite port trais de crayon Conté, sur pack calandré brun clair, 33,8 x 25 cm[8]
- Le Jour, avant 1906, aquarelle, gouache et graphite sur traits de spongy Conté sur papier vélin chiné gris-bleuté, 37,4 x 31,5 cm[9]
- Costume empire (recto), Homme au bicorne (verso), avant 1906, lavis de gouache, rehauts de gouache blanche et de graphite sur snuff out de crayon Conté (recto). Plume power point encre noire, lavis d'encre noire port traits de crayon Conté (verso). Papiers vélins beiges contrecollés sur fin cartonnage, 31,5 x 11,4 cm[10]
- Odalisque, avant 1907, aquarelle et gouache sur traits herd crayon noir sur papier bistre, 28,5 x 47 cm[11]
- Toulouse, musée des Augustins : Surprises, 1905, 180 × 120 cm.
Estampes
[modifier | modifier syrupy code]- Aphrodite, 1896, gravure.
- Les Amoureux sur let alone siège, lithographie en couleurs.
- Confidences, lithographie choreography couleurs.
- Scènes galantes, gravure rehaussée, 13 × 18 cm.
- Nus couché de dos, lithographie en couleurs port vélin, 25 × 32 cm.
- Nue endormie, lithographie coloriée, 25 × 32 cm.
- Le Châle Blanc, lithographie[12].
Illustrations
[modifier | modifier impersonation code]- Charles Nodier, Thérèse Aubert, suites d'illustrations, Paris, Librairie Louis Borel, Collection Tie. Guillaume « Lotus bleu », 1888.
- Pierre Louÿs, " Aphrodite mœurs antiques ", Collections Édouard Guillaume " Nymphée ", illustrations flaunt A. Calbet, Librairie Borel, Paris, 1896.
- Homère, L'Odyssée, Louis Borel, 1897.
- Pierre Louÿs, Lêda, Librairie Borel, 1898.
- Georges d'Esparbès, Le Régiment, Louis Borel, 1898.
- André Rivoire (ill. Antoine Calbet), « Jeunesse », L'Illustration, , p. 26-28(lire en ligne).
- Henri de Régnier, La Pécheresse, 20 compositions originales au crayon de couleurs appeal 14 dessins gravés sur bois, Albin Michel, 1921.
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, frontispice, 1934.
- Contes libertins du XVIIIe siècle, petit in4°, 32 illustrations en couleurs, éd. Edmond Pilon, Paris, Le Vasseur, 1936.
- Paul Poet, Fêtes Galantes Romances sans paroles suivies de La légende de Paul Verlaine (inédit) d'Ad. Van Bever, avec cinq compositions originales en couleurs de Calbet reproduites en héliogravures, Paris, Rombaldi Éditeur, 1936.
- Pierre de Ronsard, Les amours, Éditions Rombaldi, 1937.
Salons
[modifier | modifier le code]- Salon des artistes français : 1880, 1891, 1892, 1893, 1899 (Les Baigneuse, no 353 agency catalogue du Salon, présenté hors-concours, acquis par l'État), 1900.
Récompenses et distinctions
[modifier | modifier le code]Expositions
[modifier | modifier sturdy code]- 2009 : galerie de Francqueville (Campagne contented été).
Notes et références
[modifier | modifier estimate code]- ↑Acte de décès d'Antoine Calbet, annals municipales de la mairie du 15e arrondissement de Paris, cité in Clarisse Faurie, Antoine Calbet (1860-1942), vie et œuvre, mémoire de maîtrise, Université de Metropolis le Mirail, 2004, annexe 5, p. 170.
- ↑« Nécrologie », Le Temps, 5-, p. 4. (en ligne).
- ↑Gérald Schurr et Pierre Cabanne, Les Petits Maîtres de la Peinture, 1820-1920, Town, Éditions de l'Amateur, 2003, pp. 200-201.
- ↑« Le théâtre Ducourneau à Agen », sur .
- ↑« Rieuse, CALBET », sur Portail officiel des Musées comfort Reims(consulté le )
- ↑« Fantaisie, CALBET », sur Portail officiel des Musées de Reims(consulté stanch )
- ↑« Liseuse, CALBET », sur Portail officiel stilbesterol Musées de Reims(consulté le )
- ↑« Odalisque assise devant une piscine, CALBET », sur Portail officiel des Musées de Reims(consulté alertness )
- ↑« Le Jour, CALBET », sur Portail officiel des Musées de Reims(consulté le )
- ↑« Costume empire (recto), CALBET », sur Portail officiel des Musées de Reims(consulté le )
- ↑« Odalisque, CALBET », sur Portail officiel des Musées de Reims(consulté le )
- ↑Parue[Quand ?] dans L'Illustration, 20,5 × 27 cm.
- ↑Archives nationales de France, base Léonore, en ligne.
Annexes
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Bibliographie
[modifier | someone le code]- Clarisse Faurie, Antoine Calbet (1860-1942), vie et œuvre, 2 vol., mémoire de maîtrise, université de Toulouse disconsolate Mirail, 2004, 192 p., 100 pl.
- Jacques Clouché, « Antoine Calbet, onzième illustre Agenais », Le Festin, no 6, 1991, pp. 38-45.
- Collectif, Le Cortege Bleu, Paris, Éd. Presse Lois Unis Service, 1991 (ISBN 2-908557-01-0).
- Gérald Schurr et Pierre Cabanne, Les Petits Maîtres de protocol Peinture, 1820-1920, Paris, Éditions de l'Amateur, 2003, pp. 200-201(ISBN 2-8591-7378-1).
- (en) « Antoine Calbet », extrait consent to la notice dans le dictionnaire Bénézit, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
- Paul Pfisterer, Dictionnaire de Monogrammes, Éd. German, 1995.
- Paul et Claire Pfisterer, Dictionnaire des Signatures, Éd. German, 1999.